Aix-en-Provence, Châteauneuf-le-Rouge, Marseille, Peyrolles-en-Provence
Plage du Prado — Esplanade devant la Cabane des Amis
Marseille
Chapelle Venel
7 rue Venel
Aix-en-Provence
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MAC ARTEUM
Château de l’Hôtel de Ville
Châteauneuf-le-Rouge
Sur les ondes de Radio Grenouille_ 88.8
Amphithéâtre de l’École Supérieure d’Art d’Aix-en-Provence — Institut de l’image
57 rue Emile Tavan
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Jardin Villa Sacem
7 rue Vendôme
Aix-en-Provence
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Lac de Peyrolles
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Sur les ondes de Radio Grenouille_ 88.8
Lips #1
Exposition
Deep Speech. Dialogues inter-espèces
Catherine Clover, Maëva Longvert et Oussama Tabti
6 avril-5 mai 2024
Chapelle Venel, Aix-en-Provence
Intentions curatoriales
Le titre Deep Speech joue avec la notion de deep ecology, écologie profonde : c’est-à-dire la pensée écologique reconnaissant au vivant une valeur, une finalité et des besoins intrinsèques au-delà de l’humain. Avec l’ajout du mot speech (discours), l’exposition explore des démarches artistiques que l’on pourrait définir de parole profonde ; elle questionne la place du non-humain dans les dispositifs d’énonciation ; elle aborde les processus de traduction ou de dialogue inter-espèces à travers le travail de trois artistes de différents horizons culturels et disciplinaires : Catherine Clover, Maëva Longvert et Oussama Tabti. Dans son texte Réanimer la nature, l’écoféministe australienne Val Plumwood énonce un projet qui restera au centre de plusieurs débats et pratiques contemporains, engagés dans un questionnement radical des façons dont la relation entre les êtres humains et le vivant ont été forgées en occident :
Il s’agit de ré-animer le monde, de nous remodeler nous-mêmes, afin de devenir les membres d’une communauté écologique […] en acceptant de voir comme une agentivité créatrice non humaine ce qui est trop souvent présenté comme un hasard dénué de sens. Nous pourrons ainsi entendre les sons comme des voix, percevoir les mouvements comme des actes, l’adaptation comme une intelligence et un dialogue, la coïncidence et le chaos comme la créativité de la matière. 1
L’objectif de ce projet est de démanteler un des récits les plus puissants de la pensée occidentale : celui de l’Homme comme maître de la nature. Il s’agit, en suivant Plumwood, de déconstruire un humano-centrisme basé sur l’illusion d’autonomie et sur des narrations qui nous rendent « insensibles aux limites, aux dépendances et aux interconnexions de type non humain ».2 Il s’agit de cultiver les relations, les implications, les interdépendances, de « renouer avec tel ou tel milieu et avec les êtres qui l’habitent »3 pour se rappeler que « nous sommes déjà écologiques »4 et que « les humains sont non ‘dans la nature’ mais de la nature, comme tous les autres êtres ».5 Il s’agit, donc, de déconstruire un des piliers de la pensée moderne — le dualisme culture/nature, basé à son tour sur une opposition encore plus profonde entre matière et esprit — pour reconnaître, d’un côté, que le vivant est doté d’agentivité, de sensibilité et d’intentionnalité et, de l’autre, que l’espèce humaine est toujours prise dans des enchevêtrements symbiotiques avec la nature.
Deep Speech. Dialogues inter-espèces propose de poser un regard et une oreille sur ces efforts de penser (et d’agir) autrement à travers le prisme du langage, de la parole et des pratiques vocales. Depuis la Grèce antique, la pensée occidentale a fondé la spécificité de l’espèce humaine sur l’esprit et le langage. Aristote définit l’Homme comme zoôn politikôn — animal politique — et zoôn logôn echôn — animal possédant le langage — en posant les prémisses pour l’une des fondations de l’anthropocentrisme et des rapports de dominations que l’espèce humaine a imposé aux autres : la possibilité de prendre la parole et donc de se constituer comme sujet politique en accédant à la communauté et à la vie commune. Mais si l’on considérait les espèces non humaines comme des animaux politiques prenant la parole ? Si on écoutait le vivant, même dans ses silences ? Si on prêtait une oreille attentive à son discours pour sortir du monologue humain et ouvrir des cadres de dialogues ? Il s’agirait de réactiver notre sensibilité, d’imaginer d’autres possibles, de transformer nos relations au monde, de « devenir capable d’accorder de l’attention »6 ou tout simplement d’introduire « une culture de la sympoièse, des créations de sensibilités et de rapports entre humains et non humains que génèrent ces sensibilités ».7 Il s’agirait, comme Donna Haraway le propose, de faire avec, devenir avec, composer avec, s’accorder avec ; d’élargir le champ des relations sociales au-delà de l’humain pour fonder des nouvelles assemblées et assemblages avec les autres espèces vivantes, le règne minéral et les artefacts technologiques.8
C’est précisément en tendant son oreille au chant d’un merle qui la réveille un matin que la philosophe Vinciane Despret commence à écrire son livre Habiter en oiseau. Despret propose de désapprendre nos façons d’imaginer les territoires pour les repenser comme des partitions, des compositions polyphoniques, des milieux à habiter (à co-habiter) plutôt qu’à posséder, à partir des manières de vivre des oiseaux. Pour elle, il s’agit moins d’analyser les comportements des oiseaux que d’apprendre d’eux, de leur demander « de nous ouvrir l’imagination à d’autres façons de penser, … de rendre perceptible l’effet de certains types d’attention ».9 Peut-être d’apprendre à se taire, d’interrompre l’anthropocacophonie, pour se coordonner et composer avec eux.
De la même façon, les projets de Catherine Clover, Maëva Longvert et Oussama Tabti pour Deep Speech ne posent pas un regard scientifique sur la communication animale mais nous invitent à nous interroger à partir des oiseaux, à nous poser des questions, à imaginer d’autres relations avec eux et, à travers eux, avec le monde. Dans la diversité de leurs démarches, les installations des artistes nous suggèrent des manières de visualiser, actualiser, vocaliser et partager des échanges et des liens entre êtres humains et oiseaux via la voix, la parole, le discours ou le récit.
Extrait du texte critique d’Elena Biserna accessible ici en version intégrale
1. Val Plumwood, Réanimer la nature. Paris : PUF, 2020, 59.
2. Ibid. 32-33.
3. Isabelle Stengers, Résister au désastre. Marseille : Éditions Wildproject, 2019, 46.
4. Timothy Morton, Être écologique. Zulma, 2021.
5. Isabelle Stengers, Résister au désastre, 47.
6. Vinciane Despret, Habiter en oiseau. Arles : Actes Sud, 2019, 15.
7. Isabelle Stengers, Résister au désastre, 43.
8. Donna Haraway, Vivre avec le trouble. Vaulx-en-Velin : Les éditions des mondes à faire, 2020.
9. Vinciane Despret, Habiter en oiseau, 154.
Informations pratiques
Du 6 avril au 5 mai 2024
à la Chapelle Venel
27 rue Venel
13100 Aix-en-Provence
Horaires d’ouverture : du mercredi au dimanche de 15h à 19h
Visites guidées : du mercredi au samedi de 10h30 à 18h sur réservation par mail iris.malnou@lab-gamerz.com
Vernissage, 6 avril, 15h
16h00 EN VOL, atelier de Maëva Longvert
18h00 Activation collective de Wallcreeper de Catherine Clover
Le vernissage de l’exposition est conçu comme un moment de convivialité, de réflexion mais également d’ouverture et de collaboration.
En après-midi, entre 16h et 18h, Maëva Longvert anime un atelier ouvert à toutes et tous dans le jardin de la Chapelle Venel pour co-produire collectivement une partie de son installation et recueillir des histoires et des récits d’envol qui seront ensuite intégrés à son installation.
A 18h, le public est invité à participer à une activation collective du projet de Catherine Clover en formant une chorale improvisée médiée et guidée par l’artiste.
L’atelier EN VOL est accessible sous réservation.
Merci de nous contacter à l’adresse mail suivante : iris.malnou@lab-gamerz.com.
Oeuvres
Festival
Lips #1 – Deep Speech
12-14 avril 2024
Artistes et chercheur·es invité·es : Lucille Calmel, Chœur tac-til, Kaoutar Harchi, Aliocha Imhoff & Kantuta Quirós, Petra Kapš (alias OR poiesis), Marie Lechner, Pali Meursault & Thomas Tilly, Pauline Mikó, Julie Rousse, David Rothenberg, Nour Sokhon
Chapelle Venel et Parc du Val de l’Arc, Aix-en-Provence
Édito
Lips est un nouveau rendez-vous annuel présenté par LABgamerz à Aix-en-Provence : un festival dédié aux pratiques artistiques émergentes, interdisciplinaires, hybrides et multimédia. Lips porte le nom d’un vent venant du Sud-Ouest pour insuffler des courants, générer des vibrations, ouvrir des porosités, agiter pensée et action. Lips renvoie également à l’organe de phonation, la bouche, point de contact entre soi, les autres et le monde. Lips est une densité de rencontres, un changement de température, un moment de partage de savoirs et de pratiques, un croisement de postures et de positionnements. Chaque année, Lips investit un champ de réflexion via une pluralité d’approches et de démarches artistiques ainsi que de formes, dispositifs et manières de rencontrer le public : performances, installations, conférences, projections, débats, concerts, séances d’écoute, promenades et ateliers. Lips génère un réseau de relations, d’alliances, de complicités avec des artistes, des associations, des chercheur·es, des citoyen·nes, des institutions du territoire et d’ailleurs ; un réseau en expansion.
La première édition de Lips résonne avec les territoires arpentés par les artistes invité·es à l’exposition Deep Speech. Dialogues inter-espèces à la Chapelle Venel, à Aix-en-Provence, du 6 avril au 5 mai 2024. Lips vous convie à trois jours d’échanges et de discussions pour explorer les relations entre les êtres humains et le vivant à travers le prisme de l’écoute, du son et des pratiques vocales. Les propositions du programme révèlent des façons différentes d’imaginer des dialogues, improvisations et collaborations inter-espèces. Elles nous invitent à vivre dans le « phonocène »1 ou abordent les liens entre « domestication » de la nature, colonialisme et processus migratoires, ou encore construisent des dispositifs d’attention capables d’élargir la communauté politique au vivant en lui reconnaissant une voix et la capacité de prendre la parole.
Dans leur livre Qui parle ?, Aliocha Imhoff et Kantuta Quirós élargissent la politique de l’énonciation au non-humain. En reprenant leurs mots, la réponse à la question « qui parle ? » « pendant longtemps se jouait à l’intérieur d’un seul théâtre, celui des corps humains mis en relation — alors que c’est aujourd’hui une infinité d’êtres qui rejoindraient la scène énonciative — animaux, plantes, minéraux, objets, poussières, gaz, atomes ».2 C’est justement à partir d’une conférence de Imhoff et Quirós, en guise de cartographie que le programme de Lips #1 traverse différents milieux, êtres et façons d’être. Les enjeux politiques, environnementaux et esthétiques de l’eau dans ses différents états (Julie Rousse, Pali Meursault & Thomas Tilly, Petra Kapš, David Rothenberg), de la vie végétale (Pauline Mikó) et de l’animalité — des papillons aux oiseaux jusqu’aux espèces aquatiques (Kaoutar Harchi, Petra Kapš, David Rothenberg, Marie Lechner, Choeur tac-til, Lucille Calmel, Nour Sokhon) sont ainsi abordés d’une pluralité de manières. Lips #1 ouvre un espace aux coordonnées variables pour recentrer nos pratiques de l’attention, entre écoute profonde et écologie des médias, sociologie et performance, naturalisme et improvisation, live audio-visuels et humanités environnementales, technologies et actes de présence.
Du 12 au 14 avril 2024, Lips #1 — Deep Speech nous invite à plonger dans une prolifération de vibrations, de manières d’articuler, de silences, de langages, de connexions, de grammaires, de polyphonies et de prises de paroles pour partager et re-distribuer ensemble le sensible et l’audible.
Elena Biserna
1. « Phonocène » est un terme introduit par Donna Haraway et emprunté par Vinciane Despret pour désigner le présent en tant que « ère des sons de la terre » ; une alternative aux formulations d’« anthropocène, « capitalocène », « plantatiocène », etc.
2. Aliocha Imhoff et Kantuta Quirós, Qui parle ?(Pour les non-humains). Paris, PUF, 2022, 9.
Projets
Informations pratiques
du 12 avril au 14 avril 2024,
à la Chapelle Venel,
27 rue venel
13100 Aix-en-Provence
et au
Parc du Val de l’Arc,
39 Av. des Infirmeries,
13100 Aix-en-Provence
Prix libre
L’atelier Chœur augmenté est accessible
sous réservation uniquement.
Merci nous contacter à l’adresse mail suivante : iris.malnou@lab-gamerz.com.
Accesibilité : Bus ligne 8, arrêt Val de l’Arc
Équipe
Direction artistique : Elena Biserna
Administration générale : Magdeleine Groff
Direction technique : Grégoire Lauvin
Communication et relations publiques : Iris Malnou
Accueil public et médiation : Fanny Jacob
Conseil à la scénographie : Paul Destieu
Technicien : Felix Neumann
Stagiaire production : Eloïse Vargoz
Stagiaire technique : Vivien Perrot
Partenaires
Une programmation imaginée et produite par LABgamerz dans le cadre de la Biennale d’Aix
Avec le soutien du Flanders Arts Institute, la Maison de la musique contemporaine et The Arab Fund for Arts and Culture – AFAC
En partenariat avec le GMEM — Centre national de création musicale, le Centre Wallonie Bruxelles — Biennale NOVA_XX,
l’ESAAix-École supérieure d’art d’Aix-en-Provence, Actes Sud, Hexalab, π-node, Paysage endormi et Librairie Lagon Noir.

Aix-en-Provence
Cécile Babiole
Loops of the Loom
12 octobre 2024 → 19 janvier 2025

Loops of the Loom
Exposition personnelle de Cécile Babiole
Une programmation LABgamerz
Pour la Biennale d’Aix
12 octobre 2024 -19 janvier 2025
Musée des Tapisseries, Aix-en-Provence
Vernissage le 11 octobre, 18h avec Sur le Fil, une performance de l’artiste
Loops of the Loom – littéralement « boucles de métier à tisser » – est une exposition de Cécile Babiole présentant un nouveau corpus d’œuvres développé pendant une résidence à LABgamerz, à Aix-en-provence, en 2023-2024. Via une recherche à la fois anthropologique et technologique sur le tissage, l’artiste propose une réflexion et une expérience contemporaine autour des pratiques à la base de la collection historique de tapisseries dans l’ancien Palais de l’Archevêché.
En réalité, Loops of the Loom fait confluer plusieurs axes de recherche et démarches que Cécile Babiole explore depuis des années : les interactions entre genre et technique, entre technique et art, entre art plastique et art sonore, entre son et langage, entre langage et genre… Dans une boucle qui l’amène à travailler autour du tissage dans ses possibilité de traduction orale et sonore, dans son lien à l’histoire de l’algorithme, dans ses connotations sociales et notamment genrées.
Le tissage est une des premières technologies humaines inventées vraisemblablement par des femmes dès le néolithique ; elle requiert des capacités scientifiques (arithmétique, géométrie, algorithmique) et peut être considérée comme le lointain ancêtre de l’informatique en passant par l’étape du métier Jacquard qui, finalement, n’est que la mécanisation astucieuse d’un processus bien antérieur. A partir de ces héritages et ces connexions, Babiole a commencé un travail d’exploration du tissage qui l’a amenée à croiser plusieurs champs disciplinaires et à expérimenter dans plusieurs directions.
Avec la première série de tissages sonores qui donne le titre à l’exposition, Loops of the Loom, elle s’inspire des tissages issus des sociétés matriarcales préhistoriques ainsi que de ceux présents dans les mémoires vives magnétiques des ordinateurs des années 1955 à 1975. Ainsi, à l’aide d’un métier conçu pour ce projet, elle tisse des fils électriques capables de transmettre des signaux audio et de traduire les motifs en partitions sonores. Pour l’installation Radio TXT, elle tisse une antenne radio en câbles audio pour diffuser l’audioguide de l’exposition : une émission autour du tissage et une collecte d’anecdotes et de récits entremêlant références artistiques et histoire populaire. Pour la performance filmée Tisser la terrain de football, elle tisse un terrain de football en marchant de long en large à l’aide d’un GPS. Enfin, pour la performance Sur le Fil, conçue pour le vernissage de l’exposition, elle inspecte au microscope les fibres qui constituent ses vêtements et énumère la composition des textiles.
Entre performance et installation, entre humour et critique sociale, entre préhistoire des techniques et archéologie des médias, le projet dévoile une approche technoféministe de ce savoir et savoir-faire souvent invisibilisé et relégué au statut de décoration.
L’exposition Loops of the loom est imaginée et produite par LABgamerz
Dans le cadre de la Biennale d’Aix et de Chroniques. Biennale des Imaginaires Numériques
Avec le soutien de l’Espace Multimédia Gantner
En partenariat avec le Musée des Tapisseries, Anonymal et Radio Zinzine
Hexalab, ESAAix – École Supérieure d’Art d’Aix-en-Provence.
Remerciements à Paul Destieu, Luce Moreau et Jean-Marie Boyer.










Plein tarif : 4 €
Gratuités :
- Avec le City Pass Aix-en-Provence
- Pour les moins de 26 ans, la presse, les demandeurs d’emploi.
- Pour les enseignants de l’Ecole Supérieure d’art Félix Ciccolini d’Aix-en-Provence, les bénéficiaires du RSA (justificatif datant de moins de 3 mois), les bénéficiaires de l’aide sociale(CAF), minimum vieillesse et invalidité, les détenteurs de cartes en cours de validité ICOM, ICOMOS, AGCCPF (Conservateurs), carte du Ministère de la Culture (en cours de validité), carte Culture Aix-Marseille Université, carte d’invalidité, carte du CCAS d’Aix, les adhérents de l’association des Amis des Musées d’Aix, de l’association Cultures du Coeur, de l’association de la Maison des Artistes, les Guides conférenciers nationaux, internationaux et régionaux agréés
- Entrée libre tous les 1er dimanche de chaque mois.
En savoir plus sur Cecile Babiole : https://babiole.net/projects
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MAC Arteum, Chateauneuf-le-Rouge
Musée des tapisseries, Aix-en-Provence
Galerie des grands bains douches de la Plaine, Marseille
Meyrargues, chemin du Pas de l’étroit, site de l’ancien aqueduc romain de Traconnade
Chapelle Venel, Aix-en-Provence
Chapelle Venel, Aix-en-Provence